Dépasser nos peurs
Les peurs que tu n’affrontes pas deviennent tes limites
Les mesures gouvernementales | Les effets psychologiques de la peur/angoisse |
Confinement/isolement/couvre-feux | Isolement, repli sur soi, sentiment d’insécurité, de danger, vulnérabilité |
Distanciation | Mise à distance des autres, peur des autres, déficit de liens, manque affectif, solitude, évitement, rejet, agressivité |
Masques | Troubles de la communication, mutisme |
Attestations/amendes | Culpabilité, humiliation, punition, infantilisation, soumission, régression |
Informations/allocutions/publicités | Scénarios catastrophes, amplification, sidération, perte du discernement, obsessions |
Fermeture commerces, loisirs, activités sportives | Angoisses matérielles, perte du sens de la vie |
Directives sanitaires sur les lieux de travail | Persécution, perte de confiance, manque de considération, agressivité, |
Les « nombreux » revirements dans les mesures et les informations | Confusion, dispersion, méfiance, perte du sens de la réalité |
Et les réactions physiologiques (tremblements, sueur, maux de ventre, accélération du pouls, difficultés à respirer…)
Les mesures mises en place sont identiques aux observations cliniques des conséquences de la peur sur le psychisme humain.
Coïncidence ?
Quand on nous donne tous les symptômes on ne peut que déclarer la maladie…
LA CNV peut contribuer à :
- Se libérer de l’identification et des conditionnements
- Agir plutôt que réagir
Sources illustrations :
https://aucoeurduvivant.kneo.me
IMPACTS DES MESURES SANITAIRES SUR NOS ENFANTS
Masques
Tests salivaires et PCR
A diffuser dans les lieux d’accueil d’enfants (écoles, garderies, associations, Maison Pour Tous, Centres aérés, clubs…) ainsi qu’aux mairies.

150 professionnels de santé alertent
- Lettre ouverte signé de 150 professionnels de santé 10.11.2020:
- Il apparaît urgent d’informer et d’alerter les parents, enseignants et responsables politiques sur les effets maltraitants et délétères du port du masque dès l’âge de 6 ans.
Porter un masque 8 heures d’affilée à l’école, y compris durant les récréations, c’est inédit. Même pour les professions qui exigent le port du masque, cela se fait dans certaines circonstances, environnements, et jamais durant 8 heures.
Le gouvernement a-t-il pesé la balance bénéfice/risque alors que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) alerte la population générale sur les masques et leur incapacité d’être gérés dans la vie quotidienne, leurs effets indésirables et secondaires possibles. Cf. Annexe Déclaration OMS du 05/06/2021
DONNEES SCIENTIFIQUES
- Les enfants sont moins contaminés et moins contaminants que les adultes. Source : https://www.infovac.fr/docman-marc/public/covid-19/1687-covid-enfant-infovac-def-010620/file
- Il ne faut pas confondre cas positifs et contagiosité́ de la maladie : la sensibilité́ des tests PCR est si élevée qu’après 35 à 45 cycles d’amplification, il est possible de détecter des fragments génétiques ‘ARN’ de virus non vivants, donc non actifs !
- https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-bien-portants-dits-asymptomatiques-ne-transmettent-pas-le-covid19-etude
Si les gains de certaines mesures spectaculaires sont très incertains en termes de santé publique, les dégâts sur nos conditions de travail et sur le bien-être des élèves sont, eux, très palpables.
Journal Libération : « Ne cédons pas à toutes les peurs, et ne sous-estimons pas le coût de la perte de l’insouciance et de la liberté́ d’une qualité́ d’expression orale, notamment à l’âge de six ans. »
https://www.sfpediatrie.com/actualites/rentree-scolaire-covid19-enfants-ne-posent-pas-probleme
LES OBSERVATIONS DES PROFESSIONNELS DE L’ENFANCE
- L’enfant, de 6 à 11 ans, est encore loin d’avoir atteint une pleine stabilité dans son développement.
- Les professionnels de santé qui sont quotidiennement au contact de jeunes patients, connaissent bien leur développement et les vulnérabilités spécifiques de leur jeune âge.
- Les conséquences du port du masque et plus largement de la politique sanitaire actuelle, sont aujourd’hui constatées. Ces mesures portent atteintes à la santé physique, psychique des enfants et jouent un rôle tout autant considérable dans leur apprentissage.
http://messagesante.e-monsite.com/medias/files/urgence-informons-dangers-du-masque-de-s-6-ans-2
Les orthophonistes alertent : « Au sein de nos cabinets, dans notre pratique, parmi les témoignages que nous récoltons depuis cette date, nous constatons que le port du masque par les enfants a déjà de nombreuses répercussions. Au vu de notre expertise sur le développement de l’enfant et particulièrement sur le développement de son langage, il est évident que d’autres effets sont à venir, inscrits dans les acquis des enfants soumis à cette mesure alors qu’ils sont dans une « fenêtre d’acquisition » qui s’ouvre pour un temps et se referme par la suite. Ces conséquences, une fois visibles, seront nécessairement irrémédiables. »
Les psys alertent : « Une entrave au développement psycho-affectif, relationnel, psychomoteur et des régressions dans les apprentissages. L’accès aux émotions est rendu extrêmement problématique par le port du masque. Les enfants n’apprennent plus à lire correctement les émotions sur le visage de l’adulte, ce qui renforce des processus de perte des affects.
La souffrance psychique et les troubles associés chez les enfants sont par conséquent en pleine « explosion ».
Et l’école ?
- Les écoles ne sont pas des vecteurs de contamination
- Communiqué syndicat d’enseignants : https://actionetdemocratie.com/wp-content/uploads/2020/12/Doc-5-Plainte-penale-contre-le-port-du-masque.pdf
Pourquoi réaliser un test salivaire de dépistage à l’école ?
Pour rappel, la Covid 19 n’est pas une maladie pédiatrique. Les enfants sont peu malades, font très peu de formes graves et avant 11 ans ils sont très peu contagieux.
Qu’est-ce qu’un test salivaire ?
Il existe 2 principales techniques de diagnostic direct de SARS CoV2 sur la salive.
Ces techniques initialement destinées aux patients symptomatiques (malades) s’étendent désormais aux personnes asymptomatiques, en guise de test de dépistage et ont l’avantage d’être moins invasives. (Indolores).
En pratique,
*Si votre enfant est malade, qu’il présente des symptômes, agissez de manière habituelle : demandez conseil à votre médecin qui examinera votre enfant et vous conseillera sur l’intérêt ou non à réaliser un test à la recherche de SARS COv2. Dans tous les cas, il suffit simplement de garder votre enfant malade à la maison le temps des symptômes, ainsi le risque de contamination sera moindre. En aucun cas, l’école ne peut se substituer à l’avis de votre médecin.
*Si votre enfant n’a pas de symptômes, un test de dépistage réalisé par l’école (sans avis médical) à la recherche de virus alors que votre enfant va bien, a très peu d’intérêt pour lui et son entourage proche puisque, en cas de résultats positif :
Il y a un très faible risque que votre enfant qui va bien soit vraiment infecté et contagieux.
Moins invasifs certes mais totalement inutile si votre enfant est asymptomatique de l’avis même de la Haute Autorité de Santé (HAS) : « En revanche, compte tenu des données disponibles à ce jour rapportant une très faible sensibilité́, le recours à la détection du génome du virus SARS-CoV-2 sur prélèvement salivaire n’est pas indiqué en situation de dépistage pour les personnes asymptomatiques. »
Si votre enfant est vraiment infecté, il y a peu de risque qu’il développe une forme grave/ fulgurante de la Covid, ou qu’il ne contamine de nombreuses personnes de son entourage.
En revanche, on lui demandera une éviction scolaire voire une confirmation par PCR nasopharyngée qui est un examen invasif et désagréable. (Sachant que les PCR nasopharyngées sont déjà̀ très rarement positives chez l’enfant).
En cas de résultat négatif : devrez-vous réitérer ces tests de manière aléatoire ? Combien de fois ? A quel rythme ? Combien de temps ? A la demande de qui ?
Tout examen complémentaire devrait être prescrit par un médecin suite à des symptômes, et réalisé́ par un professionnel de laboratoire habilité.
Ce n’est pas un test positif qui détermine si l’on est malade. Être malade signifie avoir des symptômes (fièvre, toux, rhinite etc.…) et le diagnostic de cette maladie peut parfois être complété́ par la réalisation de test, sur avis médical.
Réaliser des tests de dépistage de masse en population saine, permettra de recueillir des chiffres qui pourront nourrir des études épidémiologiques et potentiellement :
– justifier un durcissement des protocoles sanitaires à l’école en raison de nouveaux tests positifs, (indépendamment du réel état de santé des enfants).
– Entrainer une exclusion scolaire des enfants asymptomatiques testés positifs et des enfants cas contacts que les parents ne souhaitent pas tester.
L’école est un lieu d’instruction pour tous et non de discrimination sur critères « médicaux »
Comment la réalisation d’un acte médical – rappelant une fois de plus l’actualité́ pesante et anxiogène de l’épidémie – dans un lieu tel que l’école sera perçu par un enfant qui ne présente aucun symptôme ?
Il est primordial que les parents prennent leurs décisions en connaissance de cause Aucun test ne peut être réalisé́ à l’école sans autorisation parentale.
L’intérêt supérieur de l’enfant doit toujours primer.
Le test de dépistage du SARS Cov2 est-il nécessaire et bénéfique pour l’enfant ?
Les tests à l’école n’ont rien d’obligatoire !
Qu’en est-il de la covid19 chez l’enfant ?
La plupart des études scientifiques révèle que les enfants testés sont majoritairement négatifs, qu’ils sont très peu malades et qu’ils font encore moins de formes graves.
De plus, les enfants infectés sont peu contagieux et/ou transmetteurs envers les autres enfants et les adultes.
Rappelons dans quel cadre un test doit être utilisé :
Le test PCR est un test diagnostic et non de dépistage. C’est un examen complémentaire utilisé pour confirmer ou infirmer une hypothèse diagnostique au vu de symptômes constatés par un médecin. Ce n’est pas un examen conçu pour le dépistage de masse.
En aucun cas l’école ne doit se substituer à l’avis médical d’un médecin traitant.
Aucun intérêt pour votre enfant d’être testé s’il est asymptomatique.
La PCR est une technique qui permet de détecter un virus (ou un fragment de ce virus) en très petite quantité́. Selon les laboratoires, ce test peut être trop sensible, il peut être positif chez une personne non infectée. De ce fait, un test positif chez une personne qui n’a pas de symptômes à beaucoup de chance d’être un faux positif.
En clair, si un test PCR est positif : chez un enfant asymptomatique, il y a un risque faible qu’il soit vraiment infecté et, à fortiori, contagieux.
Chez un enfant symptomatique (qui sera en éviction scolaire), nous savons que les enfants infectés sont peu contagieux.
Une étude parue le 20 novembre 2020 faite sur près de 10 millions de personnes âgées de plus de 6 ans montre que les personnes positives asymptomatiques n’ont contaminé presque personne.
Finalement, il n’est pas très utile pour l’entourage de connaitre le résultat PCR d’un enfant asymptomatique, car dans tous les cas sa contagiosité́ est très faible.
Est-ce que le test PCR est facile, indolore, et sans stress ?
Non pas vraiment, il s’agit de rentrer profondément un écouvillon dans le nez, jusqu’à toucher le plafond de la cavité́ nasale. Cela peut être douloureux, c’est un geste très intrusif. Votre enfant, s’il n’est pas malade, peut avoir du mal à comprendre pourquoi on lui fait cela, car cela ne lui est pas directement utile. Il peut vivre le test comme une agression.
En conclusion, avec une PCR positive, l’enfant serait privé d’école pendant 10 jours, alors que cela n’est d’aucun bénéfice pour lui s’il est bien portant, ni pour son entourage puisqu’il ne peut contaminer personne.
Des pédiatres s’unissent pour dire que l’intérêt supérieur de l’enfant doit toujours primer !
Réfléchissons aux conséquences de ces tests sur nos enfants (culpabilisation, angoisse d’être propagateur, incompréhension…). Si notre enfant a des symptômes le bon sens voudrait qu’on aille voir notre médecin, le syndrome grippal existe toujours !
Laissons nos enfants être des enfants, en dehors de cette folie sanitaire !
A nous d’y réfléchir et de décider.
Nous avons tous pour priorité de ne mettre personne en danger.
Aussi voici quelques propositions raisonnables :
- Les mesures d’hygiène et de distanciation simples peuvent être enseignées aux enfants à condition de les rendre ludiques, non anxiogènes et non contraignantes.
- Garder les écoles ouvertes malgré la présence d’élèves asymptomatiques mais positifs aux tests (cf. question sur l’immunité collective). Un test positif est rarement un malade.
- Tenir à distance de la classe les enfants présentant des symptômes pendant au moins 7 jours, comme cela était fait dans le cas d’autres maladies contagieuses.
- Abolition du port du masque pour les enfants dans les écoles primaires (cf. texte sur l’utilité et protection des masques).
- Pour le corps enseignant qui reste dans la peur des contagions enfants-adultes, porter des masques inclusifs pour faciliter la lecture labiale et rendre visible l’expression du visage pour une meilleure relation humaine.
- Réserver le port du masque aux situations identifiées comme à risque contagieux important (situations de soin, situations de contact rapproché pour les sujets fragiles).
- Appliquer des mesures de précautions standard en population générale, avec au premier plan la prévention du manuportage par le lavage des mains.
- Abolir l’obligation de port du masque en plein air et à l’école.
- Laisser aux citoyens le libre choix de porter ou de ne pas porter un masque dans toutes les autres circonstances, chacun étant libre et responsable de sa propre santé.
ANNEXES ET SOURCES
DECLARATION OMS JUIN 2020
Selon les conseils de l’OMS du 5 juin 2020 « il n’y a pas d’éléments directs sur l’efficacité du port généralisé du masque par les bien-portants en vue de prévenir les infections dues à des virus respiratoires, notamment celui de la COVID-19. » L’OMS conseille aux décideurs de suivre une approche fondée sur les bénéfices/risques.
Effets bénéfiques/avantages potentiels
Dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé́ peut notamment présenter les avantages suivants :
- Risque potentiellement réduit d’exposition à des sujets infectés encore asymptomatiques ;
- Stigmatisation potentiellement réduite des personnes portant un masque pour éviter d’infecter autrui (lutte à la source) et de celles qui s’occupent de patients atteints de la COVID-19 dans des contextes non cliniques ;(70)
- Impression donnée aux gens de contribuer à stopper la propagation du virus ;
- Occasion de rappeler à la population les autres mesures à respecter (veiller par exemple à l’hygiène des mains, ne pas se toucher le nez ou la bouche) – l’effet inverse étant toutefois aussi possible (voir ci-dessous) ;
- Effets socioéconomiques potentiels. Face à la pénurie mondiale de masques chirurgicaux et d’équipement de protection individuelle, le fait d’encourager les gens à fabriquer leurs propres masques peut contribuer à l’initiative personnelle et à l’intégration communautaire.
La production de masques non médicaux peut être une source de revenu pour ceux qui sont en mesure de les fabriquer dans leur communauté́. Les masques en tissu peuvent aussi offrir un moyen d’expression culturelle propre à favoriser l’acceptation des mesures de protection en général. La réutilisation sans risque des masques en tissu permettra de réduire les couts et le gaspillage.
Effets indésirables/inconvénients potentiels
Il faudra notamment tenir compte des risques et inconvénients potentiels suivants en adoptant l’approche du port ciblé systématique du masque médical :
- Risque potentiellement accru d’auto-contamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées ; (48, 49)
- Auto-contamination possible si un masque non médical humide ou sale n’est pas remplacé́, favorisant ainsi la prolifération de microorganismes ;
- Mal de tête et/ou difficultés respiratoires possibles selon le type de masque utilisé ;
- Lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné́ en cas de port fréquent et prolongé du masque ; (50)
- Difficulté́ de communiquer clairement ;
- Sensation possible d’inconfort ; (41, 51)
- Fausse impression de sécurité́ pouvant conduire à un respect moins scrupuleux des mesures préventives qui ont fait leurs preuves comme la distanciation physique et l’hygiène des mains ;
- Port du masque mal supporté, notamment par le jeune enfant ;
- Problèmes liés à la gestion des déchets ; l’élimination sauvage des masques peut entrainer une augmentation du volume des déchets dans les lieux publics, présentant un risque de contamination des préposés au nettoyage des rues et des risques pour l’environnement ;
- Difficultés de communiquer en cas de surdité́ et de dépendance de la lecture labiale ;
- Désavantages et difficultés liés au port du masque éprouvés par les enfants, les personnes atteintes de troubles mentaux ou de déficiences développementales, les personnes âgées atteintes de déficiences cognitives, les asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques, les personnes ayant récemment subi un traumatisme facial ou une intervention chirurgicale orale ou maxillo-faciale, ainsi que celles qui vivent dans un environnement chaud et humide.
SOURCES
https://www.infovac.fr/docman-marc/public/covid-19/1687-covid-enfant-infovac-def-010620/file
https://www.sfpediatrie.com/actualites/rentree-scolaire-covid19-enfants-ne-posent-pas-probleme
http://messagesante.e-monsite.com/medias/files/urgence-informons-dangers-du-masque-de-s-6-ans-2
Masque chez les enfants : adaptation ou résignation ?
http://lesenfantslibres.canalblog.com/archives/2021/02/25/38836053.html
Études cliniques randomisées sur les masques
– Xiao, J et al. (2020) « Mesures non pharmaceutiques en cas de pandémie de grippe dans des contextes autres que ceux des soins de santé – Mesures de protection personnelle et environnementale », Emerg Infect Dis. 5 mai 2020 : « les résultats des essais contrôlés randomisés de ces mesures n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire. ».
– Long, Y et al (2020) « Efficacité́ des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux contre la grippe : une revue systématique et une méta-analyse », J Evid Based Med. 2020 : « Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée dans la prévention de la grippe confirmée en laboratoire, des infections virales respiratoires confirmées en laboratoire, des infections respiratoires confirmées en laboratoire et des maladies de type grippal en utilisant des respirateurs N95 et des masques chirurgicaux.».
– Bartoszko, JJ et al (2020) « Masques médicaux vs respirateurs N95 pour prévenir la COVID19 chez les travailleurs de la santé : une revue systématique et une méta-analyse des essais Randomisés », Influenza Other Respiratory Viruses, 2020 : « Par rapport aux respirateurs N95, l’utilisation de masques médicaux n’a pas augmenté les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire (y compris les coronavirus) ou les maladies respiratoires cliniques ».
– Radonovich, LJ et autres (2019) « Respirateurs N95 vs masques médicaux pour la prévention de la grippe chez le personnel de santé : Un essai clinique randomisé », JAMA. 2019 : « Parmi le personnel de santé ambulatoire, les respirateurs N95 par rapport aux masques médicaux tels que portés par les participants à cet essai n’ont entrainé aucune différence significative dans l’incidence de la grippe confirmée en laboratoire ».
– Offeddu, V et al (2017) « Efficacité́ des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : Un examen systématique et méta-analyse », Clinical Infectious Diseases, Déc. 2017 : « La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée IRM n’était pas statistiquement significative ».
– Smith, JD et al (2016) « Efficacité́ des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux dans la protection des travailleurs de la santé contre les infections respiratoires aiguës : revue systématique et méta-analyse », CMAJ, Mar 2016 : « nous n’avons pas trouvé́ de différence significative entre les respirateurs N95 et les masques chirurgicaux en ce qui concerne le risque associé (a) d’infection respiratoire confirmée en laboratoire, (b) de maladie de type grippal ».
– Bin-Reza, F et al (2012) « L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques », Influenza and Other Respiratory Viruses, 2012: « Il y a eu 17 études admissibles. … Aucune de ces études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation de masques et de respirateurs et la protection contre l’infection grippale ».
– Cowling, B et al (2010) « Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une étude systématique », Epidemiology and Infection, 2010 : « Aucune des études examinées n’a démontré́ un bénéfice du port d’un masque ».
– Jacobs, JL et autres (2009) « Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les professionnels de la santé (HCW) au Japon : Un essai contrôlé randomisé », American Journal of Infection Control, 2009 : « Les travailleurs de la santé masqués N95 étaient significativement plus susceptibles d’avoir des maux de tête. Il n’a pas été démontré́ que l’utilisation de masques faciaux chez les HCW présentait des avantages en termes de symptômes du rhume ou de prise de froid ».